Passer au contenu
BIG

Freelance sales : Le guide complet pour transformer chaque objection client en opportunité de closing

Jim Breton |

Introduction : Quand une simple objection change tout

Tu crois savoir répondre aux objections ? Alors pourquoi ce sentiment de panique quand un prospect te balance un simple : « C’est trop cher » ?
Un instant, le deal est à portée de main. L’instant suivant, tout bascule. Le stress monte, les mots manquent, et l’opportunité semble filer.

Bonne nouvelle : 80 % des objections sont prévisibles. Le problème n’est pas l’objection en soi, mais notre réaction. Ce guide va t’apprendre une méthode concrète et une posture solide pour transformer ces moments de tension en leviers de closing.

Le quotidien d’un freelance sales : entre liberté et combat permanent

Les défis invisibles du commercial indépendant

Être commercial freelance (ou freelance en business development) ne se résume pas à signer des contrats. C’est jongler avec :

  • La prospection commerciale chronophage,

  • L’isolement face aux doutes,

  • L’équilibre vie pro/vie perso souvent malmené.

Chaque non pèse plus lourd quand tu es seul aux commandes.

L’objection : un K.O. ou une opportunité de croissance ?

Une objection n’est pas un refus. C’est une inquiétude exprimée par un prospect engagé.
--> Si le client prend le temps d’objecter, c’est qu’il s’intéresse à ta proposition.

Astuce BIG : Au sein de la communauté BIG, les freelances partagent leurs “scripts réels” et leurs expériences d’objections vécues. Tu gagnes en expérience 3x plus vite que si tu affrontais tout seul ces situations.

La méthode anti-panique : 4 étapes pour gérer les objections clients en freelance

Étape 1 : Accueillir sans se défendre

Ne réagis pas à chaud. Reformule avec calme :
« Si je comprends bien, votre principale préoccupation concerne… »
--> Tu passes de “vendeur sur la défensive” à “partenaire qui cherche à comprendre”.

Étape 2 : Analyser avant d’agir

Deux filtres à activer immédiatement :

  • La bonne personne ? Mon interlocuteur est-il le décisionnaire ?

  • Le bon moment ? Est-ce trop tôt pour parler budget ?

Étape 3 : Creuser pour trouver la vraie question

Derrière « On ne travaille pas avec des freelances », il y a souvent une mauvaise expérience passée ou une peur implicite. Pose une question supplémentaire pour transformer l’objection en dialogue.

Étape 4 : Répondre… ou pas tout de suite

Si tu maîtrises parfaitement → réponds.
Si tu doutes → pivote et requalifie :
« C’est un point pertinent. Pour bien répondre, j’aurais besoin de comprendre davantage votre fonctionnement sur… »

Études de cas : 3 objections classiques et comment les transformer

Objection n°1 : « On ne travaille pas avec des freelances »

  • Scénario : méfiance envers les indépendants.

  • Réponse gagnante :

    1. Creuser la cause → mauvaise expérience passée ? peur de perte de savoir ?

    2. Rassurer → présenter une méthodologie claire et un transfert de compétences.

    3. Challenger → montrer qu’un freelance sales est souvent la meilleure option pour tester rapidement un marché.

Objection n°2 : « C’est trop cher pour un freelance »

  • Recentre sur la valeur et le ROI.

  • Utilise un exemple comparatif :

    “Un freelance à 350€/jour qui traîne 6 mois, ou moi à 800€/jour avec résultats en 2 mois + playbook ? Quelle option est vraiment la plus chère ?”

Objection n°3 : « On a déjà une équipe commerciale en interne »

  • Ne te positionne pas en concurrent, mais en complément stratégique.

  • Propose un test sur un périmètre réduit pour prouver ta valeur sans perturber l’équipe.

Valoriser son expertise : au-delà du tarif, une signature

L’objection assumée comme preuve de confiance

Anticiper soi-même une objection crée une transparence immédiate et renforce ton statut d’expert.

Le score BIG : crédibiliser ton parcours

Un outil comme le score BIG valorise objectivement tes compétences et justifie ton positionnement premium.

Checklist pratique : 5 réflexes anti-stress face à une objection

  1. Inspire profondément avant de répondre.

  2. Reformule calmement l’objection.

  3. Analyse le contexte (bonne personne, bon moment).

  4. Pose une question pour creuser.

  5. Transforme ta réponse en preuve de valeur.

 

FAQ : questions fréquentes sur les objections en freelance sales

  1. Comment savoir si une objection est réelle ou une excuse ?
    Une vraie objection est précise et étayée. Une excuse reste vague. Creuse avec des questions.

  2. Dois-je toujours répondre à une objection sur le prix ?
    Non. Attends que le prospect ait pleinement compris la valeur avant d’entrer dans le détail du tarif.

  3. Un client sans objection, est-ce bon signe ?
    Pas toujours. L’absence d’objection peut indiquer un manque d’engagement. Mets toi-même les objections sur la table pour tester l’intérêt réel.

  4. Puis-je refuser une mission si je ne “sens” pas le client ?
    Oui, c’est une preuve d’expertise. Dire non protège ton business et ta réputation.

Conclusion : Et si ton prochain “non” était en fait un “oui” caché ?

Maîtriser les objections, ce n’est pas réciter des scripts. C’est adopter une posture d’expert, rester calme, écouter sincèrement et transformer une friction en levier de closing.

--> Chaque objection est une opportunité de renforcer ta valeur, choisir tes clients et accélérer ta vie de freelance.

Et si tu passais à l’étape suivante ?
Rejoins la communauté BIG en un clic et accède à des missions de qualité, un score qui crédibilise ton expertise et des revenus passifs sans paperasse. L’inscription est gratuite.

Partager ce post